Décès de l’écrivain Michel Noël

Saint-Damien

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L’écrivain Michel Noël.

Le romancier, auteur, dramaturge et poète québécois d’origine anishinabée Michel Noël est décédé subitement le 10 avril à l’âge de 76 ans.

Michel Noël a consacré sa carrière professionnelle et sa vie à promouvoir les cultures des Premières Nations et des Inuits. Au sein de la fonction publique, il s’est distingué par ses propositions innovatrices qui ont favorisé le développement de l’art et de l’artisanat autochtone.

Lauréat de plusieurs prix littéraires au cours de sa carrière, il est notamment connu pour avoir écrit des livres jeunesse, dont la série de contes Les Papinachois publiée Éditions Hurtubise en 1981. Cette série de contes autochtones pour le jeune public a connu le succès jusqu'en Europe et a été traduite en cri ainsi qu’en montagnais.

En 2013, il a décroché le Prix TD de littérature canadienne pour l'enfance et la jeunesse pour son livre À la recherche du bout du monde. Il a aussi été récipiendaire de l’Ordre national du Québec et de l’Ordre du Canada.

Commentaires

15 avril 2021

François Girard

Un autre auteur qui se prétendait autochtone depuis une trentaine d'années. C'était un fonctionnaire qui, en 1982 a publié "Carnet de voyage -Le Vieux-Comptoir de la Baie James" chez Leméac en 1982. Il ne se disait absolument pas métis alors... Il l'est devenu soudain - de quelques origines, avant de fixer son autofiction comme "métis algonquin". Ce qui n'enlève rien aux informations de ces livres: il était bien renseigné sur le sujet malgré tout.

16 avril 2021

Son épouse, Sylvie Roberge

Monsieur Girard, je suis soufflée par votre commentaire. Il est tout à fait inapproprié et la preuve qu'on peut dire les pires calamités caché derrière un clavier. La bêtise est humaine et vous en êtes une preuve vivante. Si vous souhaitiez ternir la mémoire d'un homme de coeur et de conviction, que vous n'avez à l'évidence jamais rencontré, vous auriez pu avoir la décence d'attendre qu'il soit inhumé.

16 avril 2021

Loiseau Yves

Commentaire pitoyable une fois l'homme disparu.... Chacun a le droit de faire ou de ne pas faire son "coming out"... Michel Noel -qui était un ami très proche- explique très clairement dans une émission de télé que l'on peut trouver sur YouTube ce qu'on pensait généralement des autochtones vers les années 80 justement... et curieusement, en 2021, j'entends encore parler de racisme systémique lorsqu'il s'agit des autochtones: pas vous ? Il a eu suffisamment de médailles et de récompenses dans sa vie pour ne pas en vouloir une supplémentaire ! Pour moi, le fait de se déclarer "métis" est plutôt un acte de courage qu'autre chose: il y a tellement de gens dans son cas qui continuent à le cacher....

16 avril 2021

Daniel Monette

Commentaire tout à fait déplacé monsieur Girard. Mon beau-père né Métis à Wendaké (village Huron) fut éduqué à Montréal et refusait de dire qu'il était Métis. À l'époque les Métis ou Amérindiens étaient traités de SAUVAGE. Il cachait donc son identité, avec raison. Est-il possible que Monsieur Noël en ait fait autant? Avant de juger le silence de ce merveilleux écrivain, qui a fait plus de bien que de critiquer négativement. Un peu de respect SVP!

12 décembre 2023

francois charette

Monsieur Girard. a parfaitement raison de s' exprimé ainsi car j'ai connue Michel sa sœur Micheline et son frère André a Mont-Laurier j'ai jouer au hockey avec Michel a son arrivé a Mont-Laurier sont père travaillais pour recouvrement a une compagnie de finance, il etais en cinquième année avec mon frêne sont grand père étais maréchal ferrent a Messine