Un souper spaghetti est organisé pour encourager la huitième cohorte du jumelage Saint-Thomas-La Roque-Gageac

  • Publié le 19 févr. 2024 (Mis à jour le 29 avr. 2025)
  • Lecture < 1 minute

Depuis le début de cette collaboration en 2007, plus d’une centaine d‘enfants ont eu la chance de participer à une expérience inoubliable d’échange étudiant entre des jeunes de Saint-Thomas et des écoliers du village français La Roque-Gageac. Encore cette année, une huitième cohorte a été créée. Ainsi, une première activité de financement, un souper spaghetti, aura lieu le samedi 24 février, à 18h, à la salle Saint-Joseph, au coût de 25$ par personne. Danse, prix de présence et plaisir seront au rendez-vous, en plus de pouvoir rencontrer les 16 étudiants qui vivront cet échange.

La huitième cohorte est composée de seize enfants, mais aussi de leurs parents et de bénévoles. Ils s’investissent donc dans ce projet qui se déroulera sur deux ans. 

En juillet 2024, les jeunes participants Français seront accueillis par des familles de la municipalité de Saint-Thomas pour un séjour d’activités culturelles et sociales. L’année suivante, soit en juillet 2025, ce sera au tour des enfants de Saint-Thomas de vivre l’expérience exceptionnelle de séjourner deux semaines chez des familles françaises. 

Plusieurs efforts seront déployés pendant ces deux années afin de permettre à ces jeunes de vivre une aventure enrichissante. Cependant, la réalisation d’un échange étudiant de cette envergure nécessite beaucoup de ressources financières. Plusieurs activités de financement auront donc lieu. Les organisateurs sont d'ailleurs toujours à la recherche de commanditaires pour aider à amasser les sous nécessaires. 

Pour plus d'informations, il est possible de communiquer par courriel à jumelagesaintthomas@gmail.com

Articles les plus consultés

Le projet prévoit de reconvertir la Maison Amélie-Fristel en logements communautaires. (Photo archives)
Communauté

Des délais qui mettent à risque le projet du Collectif Amélie-Fristel

Pour le porte-parole du regroupement, Michel Coutu, ces délais empêchent de subvenir rapidement à des besoins en logis.
Le président de la SSVP de Joliette, André Nadeau, a remis la subvention de 9500 $ à la directrice générale de La Soupière, Nathalie Loyer. Photo gracieuseté
Communauté

La Société Saint-Vincent de Paul de Joliette à la rescousse de La Soupière

(Photo gracieuseté)
Communauté

Démocratiser la réalité quotidienne de la douleur chronique

« Nous connaissons tous quelqu’un qui souffre de douleur chronique. Celle-ci touche 20 % de la population mondiale », a exprimé le résident de L’Assomption.