Hugues G. Hénault annonce sa candidature à la mairie de Sainte-Mélanie

Publié le 8 août 2025 (Mis à jour le 22 sept. 2025)
Lecture : 2 minutes

Mélissa Blouin

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À cent jours des élections municipales, Hugues G. Hénault a officialisé sa candidature à la mairie de Sainte-Mélanie. Engagé activement dans la vie municipale depuis plus d’un an, il souhaite offrir aux citoyens une alternative rassembleuse, rigoureuse et respectueuse des valeurs démocratiques.

« Au départ, je n’envisageais pas de me présenter. Mais à mesure que je m’impliquais, que j’écoutais, que j’analysais ce qui se passe dans notre municipalité, j’ai compris que je pouvais contribuer davantage. C’est avec humilité, mais aussi avec conviction, que j’ai décidé de me porter candidat », a expliqué M. Hénault.

Ce dernier est ensuite revenu sur le récent jugement de la Cour supérieure, rendu le 24 juillet 2025, qui refuse de suspendre provisoirement le maire actuel. Il mentionne que cela n’éteint en rien les préoccupations soulevées dans la communauté. « Ce jugement ne dit pas que tout va bien. Il dit simplement que la preuve n’était pas suffisante pour justifier une suspension immédiate. C’est maintenant aux citoyennes et citoyens de décider de la suite. »

Hugues G. Hénault veut proposer une plateforme structurée autour de cinq grands piliers. Il énumère ceux-ci comme étant une gouvernance de proximité, par et pour les citoyens, un développement économique à échelle humaine, des infrastructures durables et résilientes, des milieux naturels protégés et un patrimoine mis en valeur ainsi qu’une qualité de vie intergénérationnelle et inclusive.

Le candidat ajoute que son approche repose sur quatre valeurs fondamentales soit l’intégrité, le courage, le respect et le sens du bien commun.

Il mentionne que sa candidature ne s’appuie pas sur une équipe toute faite, mais sur une volonté sincère de dialogue. Hugues G. Hénault entend aller à la rencontre des citoyens pour bâtir, ensemble, une vision porteuse pour Sainte-Mélanie.

Il a terminé en suggérant au conseil municipal actuel de nommer une direction générale par intérim. « Nous avons traversé 113 jours avec les ressources en place. Pourquoi précipiter les choses à 100 jours des élections si cela risque d’écarter les meilleurs candidats à cause du climat ambiant ? Un DG intérimaire stable et neutre permettrait d’assurer un processus d’embauche crédible. »