L’association des camps du Québec (ACQ) demande de l’aide auprès du gouvernement pour encadrer d’avantage les camps. S’assurer que ces derniers possèdent des installations sécuritaires et des employés légitimes.
Cela semble un sujet peu intéressant mais il touche beaucoup plus de personnes que nous le pensons. Pensez à tous les parents qui ne peuvent pas rester à la maison lors de vacances estivales et qui possèdent de jeunes enfants. Beaucoup d’entre eux doivent laisser leur précieux enfant dans les mains d’adolescents inconnue. Mais comment est-il possible d’avoir une tranquillité d’esprit lorsque le camp en question ne respecte aucunement les normes. Certain moniteur débute à l’âge de 14 et s’occupe d’enfant qui n’ont que 2 ans de moins. La marge est mince… Est-ce que le moniteur possède une assez grande maturité pour s’occuper d’un groupe de 15 enfants âgés de 12 ans? On ne parle pas d’une simple garde d’enfant. De plus, selon Secourisme RCR Québec, une formation de Secourisme et une formation de RCR de 8 heures serait minimalement nécessaire. Il important de maitriser ses notions lorsque la vie d’une dizaine de jeune est dans tes mains. Certains camps exigent peu voire pas du tout de formation. Il est donc important de s’assurer qu’elles sont respectées pour la sécurité de nos enfants. Les ratios sont aussi très importants. Avec le manque d’employé présent un peu partout dans le Québec, ceux-ci sont très rarement respecté. Les groupes sont formés avec beaucoup trop d’enfant pour le nombre de moniteur assigné. Et puis, comment peut-on convaincre nos jeunes de travailler dans ce domaine avec le salaire offert? Au camp de jour de Berthierville, les moniteurs sont encore payer au salaire minimum. Avec toute les lourdes tâches exigées dans ce travaille, il est beaucoup plus bénéfique et payant pour les adolescents d’aller « flipper » des boulettes dans une restauration rapide.
Julie Pucella
Étudiante en science humaine au cégep régionale de Joliette