Revenir à la catégorie
Contenu promotionnel

6 tests efficaces pour surveiller des lésions traumatiques

  • Publié le 21 oct. 2024 (Mis à jour le 3 juin 2025)
  • Lecture : 2 minutes

 


Lorsqu'une personne subit un traumatisme, il est crucial de surveiller la zone affectée pour évaluer les dégâts et suivre la progression de la guérison. Les traumatismes peuvent toucher différentes parties du corps, notamment les muscles, les os, les ligaments et même le cerveau. En fonction de la gravité de la lésion, différents tests sont recommandés. Dans cet article, nous allons aborder six tests efficaces pour détecter et suivre les lésions traumatiques.

Image

L'imagerie par résonance magnétique (IRM)

L'IRM est un outil de diagnostic non invasif qui utilise des champs magnétiques et des ondes radio pour produire des images détaillées des organes et des tissus internes. C'est un examen particulièrement utile pour identifier les lésions traumatiques qui ne sont pas toujours visibles avec d'autres méthodes d'imagerie comme les rayons X. L’imagerie par résonance magnétique permet de visualiser les muscles, les ligaments et les cartilages, ce qui en fait un choix privilégié pour les traumatismes des articulations et des tissus mous.

La tomodensitométrie (TDM)

La tomodensitométrie, ou scanner, est une méthode d'imagerie qui utilise des rayons X pour créer des images en coupe du corps. Ce test est souvent utilisé pour évaluer les traumatismes crâniens, les fractures osseuses complexes ou les lésions internes qui pourraient ne pas être visibles avec une simple radiographie. Il fournit des images détaillées qui permettent aux médecins de comprendre l'étendue des dégâts et de planifier les soins appropriés.

L'échographie

L'échographie est un test couramment utilisé pour examiner les lésions traumatiques des tissus mous, comme les déchirures musculaires, les hématomes ou les blessures tendineuses. Grâce à des ondes sonores, l'échographie permet de voir en temps réel les structures internes, ce qui aide à surveiller la guérison ou à détecter des complications potentielles. Cet examen est particulièrement utile dans les cas où une intervention rapide est nécessaire.

La radiographie

Bien que la radiographie soit l'une des méthodes d'imagerie les plus anciennes, elle reste indispensable pour détecter certaines lésions traumatiques, notamment les fractures osseuses. Ce test rapide et relativement peu coûteux fournit des images des os et des articulations, ce qui permet de diagnostiquer rapidement les blessures et de mettre en place un traitement efficace.

L'électromyographie (EMG)

L'électromyographie est un examen qui mesure l'activité électrique des muscles. Cet outil est particulièrement utile pour évaluer les lésions nerveuses qui peuvent survenir après un traumatisme. En surveillant la façon dont les nerfs et les muscles fonctionnent ensemble, l'EMG aide à identifier les éventuelles atteintes nerveuses qui peuvent avoir un impact sur la récupération à long terme.

Les tests neuropsychologiques

Les traumatismes crâniens peuvent affecter le fonctionnement du cerveau, ce qui peut entraîner des troubles cognitifs, de la mémoire ou de l'attention. Les tests neuropsychologiques sont des évaluations détaillées qui permettent d'évaluer l'impact des lésions sur les fonctions mentales d'une personne. Ces tests jouent un rôle important dans la surveillance des traumatismes crâniens et aident à mettre en place des programmes de rééducation adaptés.

La surveillance des lésions traumatiques est une étape cruciale dans le processus de guérison et de rétablissement. Chaque type de test a ses spécificités, et le choix de l'examen dépendra de la nature et de la gravité des lésions. N'oublions pas que, même après un traitement initial, une surveillance régulière peut être nécessaire pour éviter les complications à long terme et garantir une récupération complète.

Articles les plus consultés

(Photo Médialo - archives)
Actualités
Faits divers

Deux Charlois arrêtés dans une opération de lutte au trafic d’armes

Les policiers ont procédé, le 18 juin, à l’arrestation d’un homme et d’une femme de Saint-Charles-Borromée dans une opération de lutte au trafic d'armes.
Louise Larivière a pris le temps de présenter le Village VITAL durant la rencontre du 27 mai dernier. (Photo Médialo – Jason Joly)
Communauté

Des projets immobiliers qui sortent du lot afin de connecter la collectivité

Alors que plusieurs craignent de se retrouver en résidences pour aînés ou dans un CHSLD et de s'y sentir isolées, des personnes âgées imaginent, depuis 2023, une alternative, soit le projet de cohabitation Village VITAL. Un lac-à-l’épaule a donc été organisé le 27 mai à Saint-Côme afin de présenter les avancements de cette initiative, mais également de mettre de l’avant d’autres concepts qui prônent le cohabitat, dont un à Sainte-Émélie-de-l’Énergie.
Actualités
Politique

Mathieu Lacoursière se présente comme candidat à Saint-Thomas