27 décembre 2021

Élise Brouillette - ebrouillette@medialo.ca

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©(Photo Guillaume Morin) - L'Action

Les audiences publiques concernant le décès de Joyce Echaquan ont débuté le 13 mai dernier.

L’église de Notre-Dame-de-Lourdes n’est plus

Le sort de l’église de Notre-Dame-de-Lourdes, qui a été au cœur de plusieurs interrogations au cours des dernières années, a finalement été scellé. Cette dernière a été démolie et fera place à des multilogements et à une résidence pour personnes âgées. La Municipalité aurait souhaité que l’église soit conservée, mais les dommages étaient trop importants pour que cette dernière puisse être préservée.

Le Club de tir à l’arc cesse ses activités

Lors de la séance du conseil tenue le 17 mai, la Ville de Joliette a résolu de mettre fin à l’entente qui existait entre celle-ci et le Club de tir à l’arc. Le refus de l’organisme d’adhérer à la Fédération de tir à l’arc du Québec est à l’origine de cette conclusion. Le Club se voit donc contraint de mettre fin à ses activités sur le terrain qui lui était dédié depuis 1958. Pour le Club, il est totalement faux de dire qu’il a décidé et voulu mettre fin à son entente avec la Ville et par le fait même à ses activités.

Un projet intégré et récréotouristique voit le jour à Sainte-Béatrix

La municipalité de Sainte-Béatrix est l’hôte d’un nouveau projet intégré de développement, Chalets Méli, qui propose de nombreux terrains surplombant les montagnes et bordant la rivière L’Assomption dédiés à la construction de chalets. L’aménagement des lieux sera réalisé de façon à préserver la forêt existante afin d’y intégrer des chalets au design d’inspiration scandinave. Avec Chalets Méli, il sera aussi possible de faire l’acquisition d’un chalet et de le louer en location court terme.

Les travailleurs de la cimenterie de Joliette en lockout

Les  travailleurs de la cimenterie CRH de Joliette sont en lockout depuis le samedi 22 mai à 23 h. Leur convention collective venait à échéance le 29 mai dernier. La cimenterie aurait fait appel à une cinquantaine d’agents de sécurité pour mettre ces travailleurs de la section locale 177 du syndicat Unifor en lockout. Soulignons qu’à ce jour, les négociations sont rompues et les employés toujours en lockout.