Rétrospective 2020
Retour19 décembre 2020
Élise Brouillette - ebrouillette@medialo.ca
Janvier : Une réserve naturelle en milieu privé voit le jour
Rétrospective 2020

©Photo gracieuseté - Fiducie de conservation des écosystèmes de Lanaudière - L'Action
La réserve naturelle privée est situé le long de la rivière Noire.
Au cours du mois de janvier, L’Action apprend qu’un nouveau territoire de 138 hectares a été remis à la Fiducie des écosystèmes de Lanaudière par France Bourdon et Larry Conochie afin d’en faire des aires protégées.
Ce territoire, situé le long de la route 131 et drainé par la rivière Noire, est maintenant officiellement reconnu comme une réserve naturelle en milieu privé. Une première pour la fiducie. Selon la Fiducie, on y retrouve plusieurs peuplements forestiers, de même que 18 espèces de mammifères, 91 espèces d’oiseaux et 8 espèces de reptiles et d’amphibiens.
Mécontentement à Saint-Charles-Borromée
La réduction du trajet de la patinoire de la rivière et la suppression de l’accès situé dans le secteur Louis-Bazinet à Saint-Charles-Borromée ont soulevé le mécontentement de plusieurs Charlois. Deux kilomètres aller-retour ont été retranchés entre l’accès par la rue Gauthier à Notre-Dame-des-Prairies et la pointe du secteur Louis-Bazinet à Saint-Charles-Borromée. Cependant, devant le mécontentement de nombreux résidents, Saint-Charles-Borromée s’est dit prête à réévaluer la décision pour 2020-2021 afin de trouver une solution qui puisse plaire à une majorité de résidents du secteur.
La CARA déménage
La Corporation de l’Aménagement de la Rivière L’Assomption (CARA) annonce qu’elle installera sa Maison de l’eau à Rawdon, à proximité des Chutes Dorwin ainsi que de la rivière Ouareau. L’organisme profite de l’opportunité qui s’est offerte par la vente de son Pavillon de la rivière au parc Louis-Querbes à la Ville de Joliette pour se relocaliser et enraciner son siège social qui reflètera ses valeurs corporatives en matière de développement durable.
Un manque de ressources déploré pour les enfants handicapés
En janvier, L’Action rencontre Josée, maman du jeune Samuel, âgé de 16 ans et atteint d’un trouble du spectre de l’autisme sévère. La résidente de Saint-Ambroise-de-Kildare lance un cri d’alarme face au peu de ressources et de soutien dont elle et sa famille ont droit afin de subvenir aux besoins d’un enfant autiste. Les parents de Samuel souhaitent essentiellement avoir accès à des ressources de répit afin de pouvoir s’occuper adéquatement de leur fils. Selon Josée, son fils, soit parce qu’il est trop handicapé ou pas assez selon l’organisme, n’est pas admissible à plusieurs ressources dont les Répits de Gaby, la Maison Clémentine ou encore Le Phare Enfants et Familles à Montréal. Josée souligne que plusieurs familles vivent des situations similaires et elle souhaite que les besoins des familles ayant des enfants handicapés soient pris au sérieux.
©Photo archives - L'Action
Le jeune Samuel et sa famille.
©Photo archives - L'Action
La patinoire sur la rivière L'Assomption.
©Photo archives - L'Action
La CARA déménage.
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