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31 août 2017

Il écope de cinquante heures de travaux communautaires pour possession de méthamphétamines

L'homme de Saint-Paul-de-Joliette était accusé en lien avec des comprimés de speed qui auraient été distribués par un élève dans un autobus scolaire

JUSTICE. L'homme de 46 ans accusé de possession de méthamphétamines en lien avec la distribution en février de comprimés de cette drogue par un élève dans un autobus d'une école primaire de Saint-Paul-de-Joliette a écopé de 50 heures de travaux communautaires après avoir plaidé coupable à l'accusation qui pesait contre lui.

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Marc Landry, de Saint-Paul-de-Joliette, a écopé d'une sentence suspendue le 14 août, au palais de justice de Joliette, ainsi que d'une probation d'un an au cours de laquelle le juge lui a ordonné d'entreprendre toute démarche ou thérapie jugée appropriée pour ses problèmes de consommation et de toxicomanie. Il devra par ailleurs exécuter ses travaux communautaires dans un délai de 120 jours.

Des bonbons

Marc Landry a formellement été accusé de possession de méthamphétamines le 4 juillet. Selon l'accusation, il avait cette drogue en sa possession le 19 février dernier, soit la veille de l'incident où un jeune élève aurait distribué des comprimés de cette drogue en mentionnant que c'était des bonbons lors du trajet matinal d'un autobus scolaire de l'école primaire La Passerelle-Pavillon Notre-Dame-du-Sacré-Cœur de Saint-Paul-de-Joliette.

Or, les comprimés étaient des méthamphétamines, selon ce qu'a révélé l'enquête de la police. Un seul enfant avait consommé un peu d'un comprimé et il n'y a pas eu de danger pour sa santé, selon ce qu'avait indiqué la police quelques jours après l'incident.

L'incident avait fait de grandes vagues sur les réseaux sociaux.

La Commission scolaire des Samares avait indiqué dans une lettre envoyée aux parents trois jours après l'incident, le 23 février, qu'« un enfant aurait donné une pilule à un autre ».  

Marc Landry avait été arrêté en lien avec cette affaire quelques jours plus tard, le 2 mars. Il avait été libéré par promesse de comparaître ultérieurement devant le tribunal.

Pas la première fois

Ce n'est pas la première fois que Marc Landry fait face à la justice pour avoir contrevenu à la Loi réglementant certaines drogues et autres substances. En 2002, il avait écopé d'une amende de 150 $ pour une accusation de possession d'une substance illicite.

Il a aussi déjà écopé d'une peine de 14 mois de prison en 1993 pour de multiples infractions, dont vol qualifié, complot et déguisement dans un dessein criminel.

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