Justice
Retour18 juillet 2017
Un homme accusé en lien avec des comprimés de speed qui auraient été distribués par un élève dans un autobus scolaire
JUSTICE. Un homme de 46 ans de Saint-Paul-de-Joliette a été accusé de possession de méthamphétamines, le 4 juillet, en lien avec des comprimés de cette drogue qui auraient été distribués par un jeune garçon dans un autobus scolaire d'une école primaire de Saint-Paul-de-Joliette, en février.
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Marc Landry fait face à une accusation d'avoir eu des méthamphétamines en sa possession le 19 février dernier, soit la veille de l'incident ayant fait de grandes vagues sur les réseaux sociaux et qui se serait déroulé lors du trajet matinal d'un autobus scolaire de l'école primaire La Passerelle-Pavillon Notre-Dame-du-Sacré-Cœur de Saint-Paul-de-Joliette.
Le jeune élève qui aurait distribué les comprimés aurait alors mentionné que c'était des bonbons. Or, les comprimés étaient des méthamphétamines, selon ce qu'a révélé l'enquête de la police.
Un seul enfant avait consommé un peu d'un comprimé et il n'y a pas eu de danger pour sa santé, selon ce qu'avait indiqué la police quelques jours après l'incident.
La Commission scolaire des Samares avait aussi indiqué dans une lettre envoyée aux parents trois jours après l'incident, le 23 février, qu'« un enfant aurait donné une pilule à un autre ».
Marc Landry avait été arrêté en lien avec cette affaire quelques jours plus tard, le 2 mars. Il avait été libéré par promesse de comparaître ultérieurement devant le tribunal. Il doit revenir devant le tribunal en août pour la suite des procédures judiciaires intentées contre lui.
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