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Le Québec enregistre 346 nouveaux cas
COVID-19
©Photo Unsplash Bermix Studio
Les nouveaux cas et les hospitalisations demeurent à la baisse.
SANTÉ. Les nouveaux cas, de même que les hospitalisations liées à la COVID-19, poursuivent leur baisse au Québec alors que la province déclare 346 nouveaux cas de la maladie en date du 24 mai. Une diminution de neuf hospitalisations est également rapportée.
Le nombre de lits occupés par les patients COVID s’établit maintenant à 415. Dans les unités de soins intensifs, on retrouve 101 patients, une diminution de 1 par rapport à la veille. 16 942 prélèvements ont été réalisés le 23 mai.
Aucun nouveau décès n’est survenu dans les 24 dernières heures. On en ajoute néanmoins 6 au bilan. Ceux-ci sont survenus entre le 18 et le 23 mai.
Dans la région de Lanaudière, on compte 15 nouveaux cas en date du 24 mai. Deux nouveaux décès sont aussi survenus depuis le 20 mai, portant le total à 515.
Vaccination
- 54 447 doses administrées s’ajoutent, soit 50 934 doses dans les dernières 24 heures et 3 513 doses avant le 24 mai, pour un total de 5 051 681;
- 5 829 449 doses reçues au total;
Cette semaine, aucune nouvelle livraison n'est prévue. Les 47 970 doses de Pfizer attendues aujourd’hui seront plutôt reçues demain. Ces doses viendront compléter la livraison reçue jeudi dernier.
Commentaires
25 mai 2021
Marie Roy
515 décès en 15 mois sur une population de 8,5 millions = .006% C’t’une joke! Le « vaccin » toujours en phase expérimentale semble faire autant de morts que la Covid, voir VAERS. Il favoriserait les variants selon un prix nobel de médecine, Pr Montagnier!! J’ai trouvé plus d’information pertinente avec reinfocovid et reaction19 qu’avec la TV ou dans nos médias spécialisés en marketing agressif plutôt qu’en information pertinente. En plus quelqu’un peut m’expliquer pourquoi nous continuons à porter des masques chirurgicaux? Leur inefficacité contre les virus est écrite sur la boîte. Ce qui est sûr c’est qu’ils causent d'autres problèmes tels que hypoxie, hypercapnie, auto-infection,… sans compter des problèmes écologiques de déchets et de problèmes psychologiques/neurologiques potentiels chez les jeunes en développement. Trop c’est trop.