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29 novembre 2017

Cent ans au service des Charlois

Hommage à Guy Rondeau, Claude Bélanger et André Hénault

HOMMAGE.  Le vendeur, l'avocat du diable et le rassembleur ont eu droit à une belle soirée reconnaissance pour souligner leur retrait de la vie politique active.

Plusieurs années

Avec 33 ans au service de SCB, Guy Rondeau a été présenté comme le « vendeur » de ce sympathique trio.  « Lorsqu’on voyait arriver Guy, on se doutait qu'il avait quelque chose à vendre »,  a dit à la blague Janie Tremblay.  Les 38 années à la table du conseil de Claude Bélanger ont été marquées par son désir d'aller au bout des choses.  Le titre « d'avocat du diable » lui allait comme un gant, « des fois un peu trop à mon goût », a dit André Hénault.  Fidèle à son habitude, André Hénault avait préparé un discours ponctué d'humour et de sensibilité.  D'entrée de jeu, le nouveau retraité s'est adressé au nouveau maire Robert Bibeau. « M. le Maire, a-t-il commencé avant d'ajouter, je ne m'habitue pas à dire M. le Maire en m'adressant au maire de Saint-Charles… »  À l'instar de MM. Rondeau et Bélanger, André Hénault a salué et remercié les membres du conseil, les employés, les directeurs de service et la population de Saint-Charles de lui avoir fait confiance durant toutes ces années.  « Ce fut un privilège de travailler avec vous et de vous côtoyer.  Guy et Claude ne sont pas simplement des conseillers, ce sont des amis.  Je vous laisse ma municipalité, prenez-en soin et bonne continuité », a dit en substance, celui qui est entré en politique municipale en 1983.

Salle André Hénault

Le clou de la soirée a été le dévoilement du nouveau nom de la salle du conseil.  Dans une courte vidéo, le maire Robert Bibeau, entouré de son conseil, a ouvert la porte sur la salle du conseil nouvellement baptisée la salle André Hénault.  « Pour André Hénault, le travail d'équipe était une notion fondamentale, être entourée d'une équipe soudée a toujours été sa priorité », a conclu Robert Bibeau.  Finalement, les trois hommes ont reçu une « carte chou-chou » leur donnant le droit de s'arrêter à l'hôtel de ville au gré de leur désir.

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