Une société en détresse

Lettre ouverte

Il ne se passe pas une journée sans que des actes de violence, des agressions armées et même des meurtres fassent partie de l’actualité. Cette violence n’était pas aussi présente auparavant et il est inconcevable qu’elle prenne maintenant autant d’ampleur au sein de notre société.

De nos jours, les troubles psychologiques, psychiatriques et de consommation sont de plus en plus présents et ils représentent une menace à la sécurité de tous. Que ce soit dans le métro de Montréal ou ailleurs dans la grande ville, les cas de violence ne font qu’augmenter. Il est donc crucial d’apporter, le plus rapidement possible, l’aide et les ressources nécessaires aux personnes touchées par ces problèmes, comme un meilleur accès à des spécialistes, avant que la situation actuelle ne dégénère encore plus.

De plus, cette violence apporte son lot d’inquiétude pour la majorité des gens. Des sentiments de peur et d’inconfort les habitent puisqu’ils se doivent d’être plus vigilants dans leurs activités quotidiennes, principalement pour ceux vivant aux alentours de Montréal. Par exemple, les étudiants voulant faire leurs études dans la grande ville peuvent ressentir un certain stress lié à ce troublant phénomène. L’augmentation de l’encadrement pour assurer la sécurité de tous est donc de mise. Il faut augmenter la surveillance dans les endroits à risque.

En posant des gestes concrets dès maintenant, il sera possible d’observer, à court terme, une diminution, ou du moins une amélioration, en ce qui a trait à ce grave problème de société qui préoccupe une grande majorité de gens.

Rosalie Hétu, étudiante en sciences de la nature au Cégep régional de Lanaudière à Joliette

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